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EQUIFER®+ B12

(23 avis client)

Complément alimentaire à base de Kadi Patta standardisé en fer naturel et de vitamine B12.

  • 90 gélules pour un mois d’utilisation
  • Fer de nouvelle génération
  • Très haute absorption, sans trouble digestif
  • Sans gluten, sans produit laitier, sans soja, vegan
  • Dose de vitamine B12 optimale en cas d’alimentation végétale

Apolactoferrine bio-active

VOTRE OPTION

À partir de : 19,00 

EQUIFER®+ B12

(23 avis client)

Complément alimentaire à base de Kadi Patta standardisé en fer naturel et de vitamine B12.

  • 90 gélules pour un mois d’utilisation
  • Fer de nouvelle génération
  • Très haute absorption, sans trouble digestif
  • Sans gluten, sans produit laitier, sans soja, vegan
  • Dose de vitamine B12 optimale en cas d’alimentation végétale

Apolactoferrine bio-active

VOTRE OPTION

À partir de : 19,00 

Depuis sa création, UNAE s’engage pour créer les compléments alimentaires de la plus haute qualité, en transparence.

Fer végétal, qualité Equifer®

Pour son complément Equifer®, UNAE a choisi un extrait sec de feuilles de Kadi Patta (Murraya koenigii (L.) Spreng.) standardisé en fer. Le Kadi Patta est un arbre originaire d’Asie du Sud-Ouest. Ses feuilles sont traditionnellement utilisées comme épice et font partie de la pharmacopée ayurvédique.

L’extrait de Kadi Patta d’Equifer® est encapsulé dans des gélules contenant une dose optimale de vitamine B12 sous forme de méthylcobalamine.

Le Fer végétal, qualité Equifer® a été formulé de manière à pouvoir être associé aux autres compléments UNAE, notamment à Essentiel Multivitamines, Grossesse Multivitamines ou Elite Multivitamines Holistique.

Pourquoi du fer extrait des feuilles de Kadi Patta ?

Le Fer végétal, qualité Equifer® a la particularité d’être très stable, bien absorbé et mieux très toléré, même par les intestins fragiles.

Une grande stabilité

Equifer® contient de la ferritine végétale, ou « phytoferritine », la principale forme de stockage du fer des plantes. Chaque particule de ferritine est constituée d’un complexe formé de plusieurs milliers d’atomes de fer sous forme ferrique Fe+++ (jusqu’à 4500 atomes) entouré de 24 sous-unités protéiques formant une coque protectrice.

Ferritine
Structure de la ferritine végétale.

Chez l’homme, les études menées sur la digestion et l’absorption de la ferritine végétale suggèrent que cette protéine résiste aux processus de digestion, notamment à l’acidité de l’estomac, et parvient en grande partie intacte dans l’intestin. Elle pénètre ensuite sous sa forme native dans les entérocytes (les cellules de l’intestin) et c’est à ce niveau qu’elle libère les atomes de fer. Ceux-ci seront intégrés à des protéines ou stockés sous forme de ferritine humaine.

Il apparait que la matrice des aliments consommés avec la ferritine augmente encore la stabilité de la ferritine, d’où l’intérêt de prendre le Fer végétal Equifer® en même temps que son repas.

Une meilleure biodisponibilité

Les recherches menées in vitro, sur l’animal ou sur l’homme montrent que la ferritine végétale comme celle d’Equifer® présente une biodisponibilité élevée, comparable, voire supérieure à la biodisponibilité du fer issu du sulfate de fer (FeSO4), un complément souvent prescrit pour remédier aux déficits de fer.

Par ailleurs, contrairement à ce qui se passe avec d’autres sources de fer, le calcium et les phytates n’ont pas d’effets négatifs sur l’absorption du fer issu de la ferritine végétale, tandis que l’acide tannique, un polyphénol connu pour freiner l’absorption du fer, pourrait l’augmenter selon certaines études. De plus, Equifer® n’a pas besoin d’être associé à la vitamine C pour être mieux absorbé. Ces différences s’expliquent par le mécanisme de pénétration de la ferritine dans les cellules de l’intestin. Appelé endocytose, ce mécanisme n’est pas sensible aux inhibiteurs habituels de l’absorption du fer. 

Enfin, grâce à sa diffusion lente à l’intérieur de la cellule, le fer issu de la ferritine d’Equifer® est mieux pris en charge que le fer issu de sels de fer comme le gluconate. Cette diffusion lente va permettre une meilleure recharge de l’hémoglobine, la protéine qui transporte l’oxygène dans le sang, et de la ferritine humaine, qui permet le stockage du fer dans les cellules (voir figure 3).

Absorption du fer sérique 7 fois plus élevée avec Equifer® qu’avec du gluconate de Fer(II) après 5 heures.
Absorption du fer sérique 7 fois plus élevée avec Equifer®
qu’avec du gluconate de Fer(II) après 5 heures.
Évolution (en pourcentage) du taux de fer sérique pendant les 5 heures suivant une administration orale de 90 mg de fer sous forme de fer végétal, qualité Equifer® (en orange) ou du gluconate de fer (en bleu).
Concentration en fer de l’hémoglobine 5 fois supérieure avec Equifer® en comparaison du gluconate de Fer(II) après 9 semaines.
Évolution (en pourcentage) de la concentration en fer de l’hémoglobine durant 9 semaines d’administration orale quotidienne de 14 mg de fer sous forme de Fer végétal, qualité Equifer® (en orange) ou de gluconate de fer (en bleu).
Évolution (en pourcentage) de la concentration en fer de l’hémoglobine durant 9 semaines d’administration orale quotidienne de 14 mg de fer sous forme de Fer végétal, qualité Equifer® (en orange) ou de gluconate de fer (en bleu).
Concentration de la teneur en fer de la ferritine 10 fois plus élevée avec Equifer® en comparaison du gluconate de Fer(II) après 9 semaines.
Évolution (en pourcentage) du taux de ferritine sérique durant 9 semaines d’administration orale quotidienne de 14 mg de fer sous forme de Fer végétal, qualité Equifer® (en rouge) ou de gluconate de fer (en noir).
Évolution (en pourcentage) du taux de ferritine sérique durant 9 semaines d’administration orale quotidienne de 14 mg de fer sous forme de Fer végétal, qualité Equifer® (en orange) ou de gluconate de fer (en bleu).

Une meilleure tolérance et aucun effet secondaire

Moins de troubles digestifs

La prise de fer induit des effets secondaires souvent gênants (troubles gastriques, douleurs abdominales, vomissement, constipation, nausées…) ce qui amènerait jusqu’à un utilisateur sur deux à interrompre sa prise de sulfate de fer à haute dose.

Une étude a été menée sur 10 volontaires à qui on a donné soit du gluconate de fer soit de la ferritine végétale. Les résultats montrent qu’après 9 semaines de traitement, aucun trouble digestif n’était relevé dans le groupe fer végétal alors que l’ensemble des volontaires du groupe gluconate en souffrait au point de diminuer leur dose ou d’arrêter le traitement. Aujourd’hui, la ferritine végétale est considérée comme une solution efficace pour diminuer les risques de problèmes gastriques associés à la complémentation en fer.

Grâce à sa coque protectrice et sa forme ferrique Fe+++ (triplement chargé), le fer végétal, qualité Equifer® n’a pas d’effets néfastes sur le tube digestif.

Moins d’effets oxydants

La majorité des sels de fer (bisglycinate, sulfate, pyrophosphate, gluconate…) délivrent du fer ferreux Fe++. Sous cette forme doublement chargée, le fer peut entraîner la formation plus importante de radicaux libres, appelés aussi espèces réactives de l’oxygène (ou ROS pour Reactive Oxygen Species).

Lorsque les ROS ne sont pas neutralisées par les systèmes de défense antioxydante de l’organisme, elles génèrent en effet des dommages au niveau des cellules (vieillissement précoce, inflammation, mutations de l’ADN…) ce qui pourrait augmenter le risque de maladies selon certains chercheurs.

Avec la ferritine du fer végétal, la production de ROS peut être diminuée de 60 % par rapport au sulfate de fer.

Autre avantage de la phytoferritine : une fois que la ferritine a pénétré dans la cellule, les protéines de la capsule naturelle vont se désagréger et libérer très lentement les atomes de fer.

Cette libération progressive des atomes permet une prise en charge plus efficace du fer, ce qui lui laisse moins de temps pour exercer des effets néfastes.

De la feuille fraîche à Equifer®

1
Cueillette des feuilles
cueillette_equifer
2
Extraction du fer avec un solvant aqueux
extraction_equifer
3
Concentration
concentration_equifer
4
Déshydratation
deshydratation_equifer
5
Pulvérisation
pulverisation_equifer
6
Brassage
brassage_equifer
7
Tamisage
tamisage_equifer
8
Encapsulation dans des gélules de pullulan, gomme d’acacia bio et cobalamine (vit. B12)
encapsulation_equifer

Pureté de notre extrait de Kadi Patta

FormePoudre
CouleurBeige à brun
AllergènesAucun
Métaux lourds
– Plomb
– Arsenic
–  Cadmium
– Mercure

– 0,16 ppm
– 0,18 ppm
– 0,14 ppm
– 0,01 ppm
Pesticides
– Oxyde d’éthylène, libre
– 2-chloro-étanol
– Oxyde d’éthylène, total

– < 0,01 mg/kg
– < 0,01 mg/kg
– Non détectable
Micro-organismes
– Levures
– Coliformes
Enterobacteriaceae
Escherichia coli
– Salmonelle
Staphylococcus aureus
   
– < 10 cfu/g
– Négatif/g
– Négatif/g
– Négatif/g
– Négatif/g
– Négatif/g

Vitamine B12 pure méthylcobalamine

Pourquoi de la méthylcobalamine plutôt que de la cyanocobalamine ?

La méthylcobalamine trouvée dans Equifer® est une vitamine B12 bio-identique. C’est cette forme que l’on trouve en grande quantité dans les œufs et le lait.

Dans d’autres compléments alimentaires de vitamine B12, on peut retrouver d’autres formes bio-identiques : l’hydroxycobalamine et l’adénosylcobalamine.

La quatrième forme de B12 trouvée dans les compléments est appelée cyanocobalamine. Celle-ci est synthétique ; elle est à la fois économiquement plus rentable à produire et plus stable que les autres formes de vitamine B12.

On sait qu’au niveau intestinal, ces quatre formes de B12 présentent un niveau d’absorption équivalent.

En revanche, leur biodisponibilité, c’est-à-dire leur devenir une fois absorbées, est variable. Une étude a ainsi montré que la méthylcobalamine était mieux retenue dans l’organisme que la cyanocobalamine. Chez le rat, il semblerait que la méthylcobalamine soit trois fois moins excrétée au niveau urinaire que la cyanocobalamine suggérant une meilleure absorption tissulaire de la méthylcobalamine par rapport à la cyanocobalamine. Plusieurs études s’accordent aujourd’hui à dire que la méthylcobalamine est une option plus sûre que la cyanocobalamine pour reconstituer les stocks en cas de carence déjà installée.

Les personnes ayant une alimentation végétale à risque de déficit en vitamine B12

Les aliments végétaux sont totalement dépourvus de vitamine B12. Les personnes qui ont une alimentation 100 % végétale ou une alimentation végétarienne avec très peu de produits d’origine animale sont donc à risque élevé de déficit. Ils doivent puiser cette vitamine dans les aliments végétaux enrichis ou « renforcés » (relativement rares en France) et/ou prendre un complément alimentaire.

Pourquoi une dose de 25 µg de vitamine B12 par jour ?

Deux gélules d’Equifer® apportent 25 µg de méthylcobalamine par jour. C’est une dose quotidienne optimale de vitamine B12 pour assurer le maintien des réserves du corps, la formation et la maturation des globules rouges en cas d’anémie, mais aussi pour éviter le risque de maladies et de complications liées à un déficit en vitamine B12.

Comment cette dose a-t-elle été calculée ?

Selon les recommandations de l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) de 2021, pour la population générale, l’apport satisfaisant de vitamine B12 quand on est adulte est de 4 μg par jour. Sachant que le niveau moyen d’absorption généralement retenu dans la cadre d’une alimentation riche en produits d’origine animale est de 40-50 %, cela revient à considérer un besoin net (ou besoin cible) de 1,5-2 μg de cobalamine par jour pour la population générale. Mais pour être sûr d’obtenir in fine cette quantité de B12, la dose à recevoir est nettement plus importante. Explication. Quand on prend un complément alimentaire de vitamine B12, le niveau d’absorption est directement lié à la dose de cobalamine que ce supplément contient : plus cette dose est faible, plus le taux d’absorption est élevé, et inversement (voir tableaux 1 et 2). Par exemple, une dose de 500 µg sera absorbée à hauteur de 1 à 1,2 %, alors qu’une dose de 0,5 µg sera absorbée à hauteur de 50 %.

En effet, les fortes doses provoquent une saturation des récepteurs présents à la surface des cellules de l’intestin (entérocytes) ce qui favorise l’absorption par diffusion passive à travers la paroi cellulaire, qui est un mode d’absorption moins efficace que l’absorption médiée par les récepteurs. Ce mécanisme explique qu’en cas de supplémentation hebdomadaire ou mensuelle, les doses sont proportionnellement beaucoup plus importantes afin de s’assurer que la dose réellement absorbée soit suffisante.

Niveau d’absorption de la cobalamine consommée sous forme de complément en fonction de la quantité apportée par prise.

Niveau d’absorption de la cobalamine consommée sous forme de complément en fonction de la quantité apportée par prise
Source : ONAV. Dans ce tableau, l’efficacité de l’absorption (pourcentage) de la cobalamine est calculée en comparant la quantité réellement absorbée par rapport à la quantité consommée en une prise. On constate qu’au-delà de 2-3 μg de cobalamine par prise, le mécanisme d’absorption le plus performant, qui est médié par un récepteur membranaire appelé FI (en jaune), devient minoritaire alors que la diffusion membranaire simple (en rouge) — beaucoup moins efficace — devient prédominante.

Quantités minimales de vitamine B12 nécessaires en fonction de la fréquence des prises.

Quantité (μg) par priseFréquence des prises
pour un besoin de 1,5 -2 μg par jour
13 prises par jour
2-51,5 à 2 prises par jour
10-501 prise par jour
1001 prise tous les 2 jours
5001 prise tous les 3 jours
10001 prise tous les 6 jours
20001 prise tous les 12 jours
50001 prise par mois
Source : ONAV.

Si on tient compte des niveaux d’absorption indiqués dans le tableau 1, il faudrait prendre au moins 10 μg de vitamine B12 par jour pour commencer à répondre aux besoins quotidiens de l’organisme en cobalamine.

Il n’existe pas encore de consensus scientifique sur la dose quotidienne de vitamine B12 optimale pour les adultes. Nous avons donc tenu compte des recommandations des principales associations végétariennes et véganes (voir encadré ci-dessous) et des études menées sur ce sujet. Sachant qu’il n’y a aucun risque associé à une surdose de vitamine B12, nous avons fixé la dose quotidienne de méthylcobalamine apportée par Equifer® à 25 μg.

Non seulement cette dose permet de répondre en toute sécurité aux besoins de l’organisme adulte, mais elle est totalement compatible avec les différents multivitamines d’UNAE : Essentiel Multivitamines, Grossesse Multivitamines et Elite Multivitamines Holistique qui apportent chacun 5 μg de vitamine B12 par jour.

Les recommandations des associations et sociétés véganes et végétariennes pour la complémentation en vitamine B12 en continu

• L’Association Végétarienne de France (AVF) et la Fédération Végane recommandent une dose quotidienne de 10 μg par jour ;

The Vegan Society recommande une dose d’au moins 25 μg par jour

• L’Association Végétarienne de Montréal recommande de 10 à 25 μg par jour

• L’Observatoire National des Alimentations Végétales (ONAV) recommande 10 à 50 μg par jour.

Jack Norris, un spécialiste américain de la vitamine B12, recommande une dose allant de 5 à 100 μg par jour

• Une étude australienne publiée en novembre 2022 recommande une dose d’au moins 25 μg par jour.

Le fer, un minéral indispensable au bon fonctionnement de l’organisme

Grâce à ses propriétés chimiques, notamment sa capacité à passer de l’état ferrique Fe+++ à l’état ferreux Fe++ et à réagir avec les autres atomes, le fer est un minéral absolument indispensable au fonctionnement de l’organisme. Il intervient dans une multitude de réactions biochimiques et de fonctions du corps.

L’organisme humain en contient environ 4 g chez l’homme et 2,5 g de fer chez la femme.

Où se trouve le fer dans l’organisme ?

Le fer « fonctionnel » se trouve dans l’hémoglobine du sang (ce qui représente 60 à 70 % du fer de l’organisme), dans la myoglobine des muscles (20 %) et dans la centaine d’enzymes à qui il est indispensable.

Le fer « de réserve » est sous forme de ferritine, une protéine que l’on trouve en grandes quantités au niveau du foie, de la rate, de la moelle osseuse, des macrophages et des muscles.

Le fer dit « de transport » (< 1 % du fer de l’organisme) est sous forme de transferrine que l’on trouve essentiellement dans le sang.

Représentation du fer dans l'organisme
Répartition du fer dans l’organisme.

Quels rôles exerce le fer dans l’organisme ?

Le fer est au cœur de plusieurs processus vitaux de l’organisme.

Sa présence dans la structure de l’hémoglobine, la principale protéine des globules rouges, et dans la myoglobine des cellules musculaires et cardiaques, le rend indispensable à l’approvisionnement des cellules en oxygène.

Le fer est également présent dans les mitochondries, les mini-usines énergétiques de la cellule. Intégré à des protéines appelées cytochromes, le fer participe ainsi à la synthèse de l’ATP (adénosine triphosphate), la molécule qui permet de stocker et distribuer l’énergie aux différents compartiments de la cellule.

Le fer est par ailleurs le cofacteur d’une multitude d’enzymes : oxydases, peroxydases, catalases… qui assurent les réactions grâce auxquelles les cellules peuvent exercer leurs fonctions.  

Il participe enfin à la formation, la croissance et la différenciation des cellules, mais également à la synthèse des messagers du cerveau (neurotransmetteurs) et des hormones.

L’hémoglobine est constituée de 2 sous-unités d’alpha-globine et de 2 sous unités de bêta-globine. Chacune de ces sous-unités est liée à un groupe hème qui contient un atome de fer capable de s’associer à l’oxygène.
L’hémoglobine est constituée de 2 sous-unités d’alpha-globine et de 2 sous unités de bêta-globine. Chacune de ces sous-unités est liée à un groupe hème qui contient un atome de fer capable de s’associer à l’oxygène.

Besoins en fer suivant l’âge et la population

POPULATIONRNP
(Référence nutritionnelle pour la population)
Adolescent de 12 à 17 ans11 mg/jour
Homme de plus de 18 ans11 mg/jour
Adolescente de 12 à 17 ans ayant des règles faibles à modérées11 mg/jour
Adolescente de 12 à 17 ans ayant des règles abondantes13 mg/jour
Femme de plus de 18 ans ayant des règles faibles à modérées11 mg/jour
Femme de plus de 18 ans ayant des règles abondantes16 mg/jour
Femme enceinte16 mg/jour
Femme allaitante16 mg/jour
Femme ménopausée11 mg/jour

Quels sont les besoins en fer ?

L’organisme est incapable de fabriquer du fer. Celui-ci doit obligatoirement être fourni par l’alimentation.

Certaines populations, notamment les femmes ayant des règles abondantes et les femmes enceintes et allaitantes, ont des besoins en fer plus importants que le reste de la population.


Où trouver du fer ?

Les aliments contenant du fer

Le fer est naturellement présent dans de nombreux aliments. Il existe sous deux formes :

  • Le fer héminique, dérivé de l’hémoglobine et de la myoglobine, est exclusivement présent dans les aliments d’origine animale : viandes rouges, viandes blanches, poisson, fruits de mer… Il est particulièrement bien absorbé au niveau intestinal avec un taux de 15 à 35 % et contribue à au moins 10 % de la totalité du fer absorbé quotidiennement au niveau digestif.
  • Le fer non héminique est présent dans les aliments végétaux (céréales, légumes secs, fruits, légumes…), mais aussi dans les produits d’origine animale, comme les produits laitiers ou les œufs. Il est absorbé à hauteur de 1 à 20 %.

Quelques bonnes sources alimentaires de fer

Porc18 mg / 100 g
Agneau8 à 13 mg / 100 g
Huîtres5 à 9 mg / 8 huîtres
Haricots blancs5 à 8 mg / bol
Tofu5 mg / 100 g
Sésame14 mg /100 g
Céréales complètes non raffinées13 mg / 100 g
Épinards3,6 mg / 100 g

Comment le fer est-il absorbé dans l’organisme ?

Les facteurs qui favorisent ou inhibent l’absorption de fer

L’organisme est incapable de fabriquer du fer. Celui-ci doit obligatoirement être fourni par l’alimentation.

Certaines populations, notamment les femmes ayant des règles abondantes et les femmes enceintes et allaitantes, ont des besoins en fer plus importants que le reste de la population.

La présence de certains composés dans l’alimentation peut améliorer ou au contraire diminuer l’absorption du fer.

Facteurs influençant l’absorption intestinale de fer

Facteurs inhibant l’absorption du fer héminique et non héminique

  • Calcium
  • Protéines animales (caséine, whey, blanc d’œuf) et protéines végétales (protéines de soja)
  • Acide oxalique (présent dans les épinards, les blettes, les haricots, les noisettes…)

Facteurs inhibant l’absorption du fer non héminique

  • Polyphénols (présents dans le thé, le café, la tisane, les légumes, les céréales, les fruits…)
  • Phytates (présents dans de nombreux végétaux)

Facteur augmentant l’absorption intestinale du fer

  • Vitamine C (acide ascorbique)

Les autres facteurs intervenant dans l’absorption intestinale du fer

Les traitements médicamenteux (inhibiteurs de la pompe à proton ou IPP comme l’oméprazole, antihistaminiques, quinolone et tétracyclines) et les compléments alimentaires contenant des minéraux peuvent agir défavorablement sur l’absorption du fer alimentaire.

Par ailleurs, une étude publiée en janvier 2022 suggère que la déficience en vitamine A augmente la production d’hepcidine, une hormone fondamentale dans le métabolisme du fer et qui freine l’absorption intestinale du fer (lire plus loin).


Comment se déroule l’absorption du fer dans le tube digestif ?

Une fois dans l’estomac, les protéines héminiques (hémoglobine, myoglobine, cytochromes…) sont découpées par l’acide gastrique.

Ceci va permettre de libérer l’hème porteur de fer. Le fer non héminique ne subit, lui, aucune transformation dans l’estomac.

C’est dans l’intestin grêle, au niveau du duodénum et du jéjunum, que ces deux formes de fer vont être absorbées.

Elles vont être captées au niveau des entérocytes, puis transférées dans la cellule pour ensuite diffuser dans le sang.

Le fer héminique doit se fixer sur le récepteur HCP1, situé sur la face apicale des entérocytes (la face située du côté de l’intérieur – la lumière –de l’intestin), pour ensuite pénétrer dans le cytoplasme de la cellule où il sera libéré de son hème.

Le fer non héminique sous forme ferrique Fe+++ va, lui, être capté grâce à l’intervention d’une enzyme appelée ferriréductase qui va le réduire en fer ferreux Fe++.

Dans l’entérocyte, le fer va former un « stock dynamique »:

  • Si le statut en fer de l’organisme est correct, le fer sera retenu dans l’entérocyte sous forme de ferritine;

  • Si l’organisme est en manque de fer, le fer sera libéré au niveau de la face basale des entérocytes (côté vaisseaux sanguins) et entrera dans la circulation générale empaqueté dans de la transferrine. En cas de déficience en fer de l’organisme, ce flux de fer vers la circulation sanguine peut être multiplié par 10.
Schéma de l'apport en fer
Absorption du fer dans la cellule intestinale (entérocyte)

Quelle quantité de fer est absorbée ?

Tout dépend des réserves de l’organisme ! Plus elles sont basses, plus le taux d’absorption augmente ; et plus ces réserves sont élevées, moins l’absorption est importante.

Quand on est en bonne santé et que l’on a un régime équilibré, les apports alimentaires moyens en fer sont de 15 à 20 mg par jour, sous forme de fer héminique et non héminique.

Seule la quantité de fer dont a vraiment besoin l’organisme sera absorbée au niveau intestinal. Cette quantité correspond à la dose permettant de compenser les pertes, ce qui correspond en moyenne à 10 à 20 % du fer ingéré.

En conditions normales, la transferrine possède une capacité de fixation du fer suffisante pour limiter toute concentration délétère de fer dans le plasma.

Mais quand, pour des raisons pathologiques, il existe une surcharge en fer — en cas d’hémochromatose par exemple —, les capacités de liaison des transferrines sont rapidement saturées, ce qui est le cas quand elles ont dépassé de 30 % leurs capacités de fixation de fer.

Le fer en excès est alors libéré dans la circulation sans être lié à des protéines protectrices et peut exercer des effets toxiques en favorisant la formation de radicaux libres susceptibles d’endommager les cellules du corps.

Comment le fer est-il intégré ou stocké dans les cellules de l’organisme ?

Une fois dans la circulation sanguine — sous forme de transferrine pour qu’il ne puisse exercer ses effets néfastes —, le fer va être capté par différents organes, notamment par le foie, un des principaux organes de stockage du fer, et par la moelle osseuse, qui fabrique les globules rouges et a donc un besoin intense de fer pour synthétiser l’hémoglobine.

Les cellules comme celles du foie, de la moelle osseuse, des muscles, etc., vont capter la transferrine grâce à un récepteur à la transferrine puis la transférer dans leur cytoplasme où elle va être désintégrée pour libérer le fer sous forme Fe+++.

  • Dans les cellules du foie, celui va être intégré à de la ferritine, la molécule de stockage du fer.
  • Dans la moelle osseuse, il va être intégré à des hèmes et aux globulines pour former de l’hémoglobine qui sera intégrée aux globules rouges.
  • Dans les cellules musculaires, il va être intégré à la myoglobine.
  • Dans les autres cellules, il sera intégré à diverses enzymes, protéines, facteurs de transcription nécessaire aux activités cellulaires.

Avec le fer, rien ne se perd, tout se transforme !

Seulement 5 % du fer utilisé par l’organisme provient de l’alimentation. Les 95 % restant viennent du recyclage notamment du fer des globules rouges en fin de vie (sénescents). Ce système fonctionne donc à l’économie, en circuit fermé !

Ce sont des cellules spécialisées appelées macrophages qui vont phagocyter les vieux globules rouges, les désintégrer pour en extraire le fer. Les macrophages libèrent ainsi environ 25 mg de fer recyclé par jour qui sera associé à de la transferrine pour être à nouveau mis en circulation dans l’organisme.

Recyclage du Fer des globules rouges sénescents
Recyclage du fer des globules rouges sénescents

Comment est régulée la quantité de fer de l’organisme ?

L’organisme humain est incapable d’éliminer activement un excès de fer. Pourtant, le fer peut se révéler extrêmement nocif quand il est présent en trop grande quantité. Le taux de fer ne peut pas non plus être trop bas au risque d’entraîner une anémie et divers problèmes de santé.

Les pertes naturelles de fer (sécrétions, desquamation des cellules intestinale et cutanée, émission de sueur, d’urine ou de sang menstruel) sont les seules voies d’excrétion du fer. Elles sont de l’ordre de 1 à 2 mg par jour, mais ne font l’objet d’aucune régulation.

En fait, pour assurer une « homéostasie » du fer, c’est-à-dire à un juste équilibre permettant un taux de fer sanguin de 12 à 25 micromoles/L de sang, l’intervention d’une hormone appelée hepcidine est indispensable.

L’hepcidine est la principale hormone de régulation du fer. Elle a une action « hyposidérémique », c’est-à-dire qu’elle diminue l’absorption intestinale du fer ainsi que le recyclage du fer par les macrophages. Elle est synthétisée essentiellement par les hépatocytes — les cellules du foie (principal organe de stockage du fer dans l’organisme) — quand les réserves sont pleines.

Régulations de l’absorption du fer par l’hepcidine
Régulations de l’absorption du fer par l’hepcidine

La carence martiale : qui est concerné et quelles sont les conséquences ?

Le risque de déficit en fer peut survenir dans quatre types de situations : quand les apports alimentaires sont insuffisants, quand les besoins en fer sont plus importants, quand il y a des pertes sanguines (et donc de fer) particulièrement élevées et quand il y a un problème d’absorption du fer au niveau intestinal (on parle de malabsorption).

En pratique, il s’agit :

  • Des personnes ayant une alimentation déséquilibrée, une alimentation végétarienne ou une alimentation 100 % végétale mal équilibrée, c’est-à-dire comportant trop d’aliments pauvres en fer et riches en facteurs antinutritionnels (tannins, phytates, oxalate…).
  • Des femmes en âge de procréer (en France, 25 % présenteraient un déficit et 5 % une anémie).
  • Des femmes enceintes (même si leur capacité à absorber le fer au niveau intestinal est augmentée durant cette période).
  • Des femmes allaitantes.
  • Des femmes ayant des règles abondantes (ménorragies).
  • Des personnes ayant subi une perte de sang importante (don de sang, chirurgie…).
  • Des personnes souffrant d’hémorragie chronique d’origine digestive (ulcère, hémorroïdes, polypes…).
  • Des personnes souffrant de malabsorption du fer au niveau intestinal causée par exemple par une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI).
  • Des personnes prenant un traitement : inhibiteurs de la pompe à proton (IPP) comme l’oméprazole, antihistaminiques, quinolone, tétracyclines… 
  • Des sportifs de haut niveau (pertes importantes en raison d’une importante transpiration, saignements gastro-intestinaux provoqués par la répétition exercices de haute intensité ou par l’usage fréquent d’anti-inflammatoires, éclatements des globules rouges en raison des chocs répétés sur des surfaces dures lors de la course à pied par exemple, etc.).

Une carence en fer qui n’est pas corrigée ou investiguée (pour ceux qui souffrent de MICI ou d’ulcère, sans le savoir, par exemple) peut déboucher sur un déficit plus grave pouvant mener à une anémie.

L’anémie par carence en fer (ou anémie ferriprive)

Quand un manque de fer persiste, les réserves de fer diminuent et les cellules de la moelle osseuse n’ont plus la matière première indispensable pour synthétiser l’hémoglobine. Conséquence : le taux d’hémoglobine du sang baisse, tout comme la taille des globules rouges – mesuré par le volume globulaire moyen ou VGM (c’est la raison pour laquelle on parle aussi d’anémie microcytaire).

L’anémie doit absolument être prise en charge pour éviter les troubles cardiaques et, chez les femmes enceintes, les naissances prématurées et/ou les bébés de faible poids à la naissance.

Les principaux symptômes de l’anémie par carence en fer

L’anémie ferriprive se traduit par un mauvais transport de l’oxygène qui va entraîner divers symptômes :

  • Fatigue.
  • Teint pâle.
  • Essoufflement à l’effort.
  • Maux de tête.
  • Tachycardie (cœur qui bat trop vite).
  • Diminution des performances intellectuelles…

Quels examens sanguins pour mettre en évidence une anémie ferriprive ?

Quand les réserves en fer diminuent, le taux de ferritine sanguine va progressivement baisser alors que celui de transferrine va augmenter (pour essayer de transporter davantage de fer en réaction). Puis le coefficient de saturation de la transferrine — ou CST — baisse (signant la raréfaction du fer) tout comme le taux d’hémoglobine.

En cas de suspicion d’une anémie par carence en fer, le médecin prescrit un bilan sanguin. Si l’anémie est avérée, les examens biologiques montreront :

  • Une diminution du taux d’hémoglobine.
  • Une diminution de la ferritine sérique (reflet des réserves) et du fer sérique.
  • Une augmentation de la transferrine.
  • Une diminution importante du coefficient de saturation de la transferrine (CST).
  • Une augmentation des récepteurs de la transferrine (un marqueur de l’« avidité » des cellules pour le fer).

L’anémie ferriprive ne doit pas être confondue avec…

L’anémie inflammatoire

C’est la deuxième cause d’anémie après l’anémie ferriprive. L’inflammation chronique, qu’elle provienne d’une infection, d’une maladie auto-immune ou autre, entraîne à la longue une augmentation de la production de ferritine, une diminution de la transferrine et une augmentation de l’hepcidine. Quand elle persiste, elle aboutit généralement à une anémie ressemblant fortement à l’anémie ferriprive (mêmes symptômes, même baisse du taux d’hémoglobine et même diminution du volume des globules rouges). Pourtant ses causes sont différentes puisqu’ici, elle n’est pas liée à un déficit en fer d’origine alimentaire. Quoi qu’il en soit, de nombreuses anémies ont des causes mixtes associant manque de fer et inflammation chronique.

L’anémie par carence en vitamines B9 et B12 (macrocytaire ou mégaloblastique)

La vitamine B9 tout comme la B12 jouent un rôle essentiel dans la formation des globules rouges. Une carence en ces deux micronutriments peut ralentir le rythme de multiplication des globules rouges et entraîner une anémie. Les symptômes sont les mêmes qu’avec une anémie ferriprive (pâleur, fatigue…), mais ici les globules rouges sont de grande taille. On parle alors d’anémie macrocytaire ou mégaloblastique.

Comment traiter les carences en fer et l’anémie ferriprive ?

Avant de mettre en place des solutions, il est indispensable d’identifier l’origine du manque de fer ou de l’anémie. Si le déficit est causé par un problème de malabsorption liée à une maladie inflammatoire de l’intestin ou à un ulcère par exemple, une prise en charge médicale devra être mise en place avant ou en même temps qu’une supplémentation. Pour cela, une consultation chez le médecin est indispensable.

Modifier son alimentation

Pour améliorer les apports de fer et son absorption intestinale, quelques règles simples peuvent être respectées :

  • Augmenter les aliments riches en fer.
  • Accompagner la viande de légumes.
  • Favoriser les aliments riches en vitamine C.
  • Prendre le café et le thé à distance des repas.

Prendre un supplément de fer

Les compléments de sels fer (gluconate, sulfate, glycinate, pyrophosphate…) sont souvent efficaces pour corriger une carence en fer ou une anémie ferriprive. En revanche, leur prise s’accompagne d’effets secondaires souvent gênants : nausées, flatulences, douleurs abdominales, diarrhée, constipation, coloration des selles en noir… Ceux-ci amèneraient une personne sur deux à interrompre son traitement.

Les autres micronutriments qui peuvent parfois aider

La vitamine A  

Une méta-analyse faisant la synthèse de plusieurs études menées entre 1992 et 2013 suggère que la vitamine A délivrée avec du fer pourrait améliorer le métabolisme du fer et ainsi diminuer les risques d’anémie ferriprive en cas de carence en fer. Une étude menée sur des rats a également montré que la vitamine A associée au fer agissait positivement sur un certain nombre de marqueurs en diminuant le risque d’anémie. Une autre étude a quant à elle montré que la vitamine A donnée seule (sans fer) pourrait augmenter les niveaux d’hémoglobine et de ferritine chez les personnes à risque d’anémie présentant des niveaux de rétinol faible dans leur sérum.

Le cuivre

Un manque de cuivre pourrait engendrer des difficultés à mobiliser le fer depuis les réserves de l’organisme (foie, rate…) et causer une anémie. Quand une anémie ne répond pas à une complémentation de fer, une supplémentation en cuivre pourrait être efficace.

Le zinc

L’absorption et le transport du zinc et du fer sont étroitement liés, ces deux minéraux interagissant fortement l’un avec l’autre. Une synthèse des études menées sur le sujet a mis en évidence que la fréquence de l’anémie dans le monde et la difficulté à trouver des solutions pour y remédier pourrait s’expliquer par la présence fréquente, dans les cas d’anémie, d’une carence en zinc sous-jacente, mais ignorée.


Rôle, absorption et carence en vitamine B12

Appelée aussi cobalamine, la vitamine B12 est indispensable à de nombreuses fonctions du corps. L’organisme étant incapable de la synthétiser, elle doit être apportée par l’alimentation.

Quels rôles joue la vitamine B12 dans l’organisme ?

Chez l’adulte, la vitamine B12 est indispensable à la formation des globules rouges et des globules blancs (bon fonctionnement du système immunitaire).

Elle joue également un rôle fondamental dans le développement et le fonctionnement du système nerveux central, dans la synthèse de l’ADN (le support de l’information génétique dans les cellules) et dans les processus de renouvellement cellulaire.

C’est par ailleurs un cofacteur fondamental de deux enzymes :

  • La méthionine-synthase qui catalyse la conversion de l’homocystéine en méthionine, un acide aminé indispensable à la synthèse de l’ADN, des protéines et des lipides.

  • La L-méthylmalonyl-CoA mutase, une enzyme centrale du fonctionnement des mitochondries (les usines de production d’énergie de la cellule).

Les sources alimentaires de vitamines B12  

La vitamine B12 se trouve uniquement dans les produits d’origine animale : viande et abats, crustacés, mollusques, poissons et, en moindre quantité, produits laitiers et œufs.

On trouve de la vitamine B12 dans quelques aliments « fortifiés » (céréales du petit déjeuner, boissons végétales, substituts végétaux de viande…), mais ceux-ci relativement rares en France, et souvent de mauvaise qualité (produits ultra-transformés).

Quelques bonnes sources de B12

Foie42,5 à 74 µg/100 g
Bigorneaux cuits, huître crue24 à 39,5 µg/100 g
Maquereau15 à 19 µg/100 g
Foie de morue15,7 µg/100 g
Sardines en boîte14 µg/100 g
Thon en boîte4 µg/100 g
Poisson2 à 3 µg/100 g
Steak2,7 µg/100 g
Fromage1 à 2,5 µg/100 g
Œuf dur1,1 µg/100 g
Poulet cuit0,5 µg/100 g
Yaourt nature0,2 µg/100 g

Comment la vitamine B12 est-elle absorbée ?

Quand on mange, la vitamine B12 est liée aux protéines des aliments. Pour pouvoir être absorbée dans l’intestin, elle va d’abord devoir être libérée de ces protéines.

Ce processus de libération commence dans la bouche, lorsque les aliments sont mélangés à la salive. Les molécules de vitamine B12 libérées vont progressivement se lier à une glycoprotéine appelée haptocorrine (ou transcobalamine) qui est produite par les glandes salivaires. Ce processus de libération de la matrice alimentaire va se poursuivre dans l’estomac grâce à la présence d’acide chlorhydrique et de protéases gastriques.

Arrivée dans le duodénum — la partie initiale de l’intestin grêle où sont déversées différentes enzymes digestives (bile, sucs pancréatiques, saccharase…) —, la vitamine B12 va être détachée de l’haptocorrine pour se combiner avec le facteur intrinsèque (FI). Le facteur intrinsèque est une protéine de liaison et de transport sécrétée par cellules pariétales de l’estomac.

C’est ce complexe vitamine B12 facteur intrinsèque qui va être absorbé par les cellules de l’iléon distal, la partie de l’intestin grêle située juste avant le gros intestin.

Une fois dans les entérocytes de l’iléon, la vitamine B12 va traverser la membrane cellulaire et diffuser dans la circulation sanguine. Une partie va atteindre les cellules cibles où elle sera utilisée dans ses multiples fonctions, une autre rejoindra le pool de réserve dans le foie.

Remarque

Les personnes qui prennent des médicaments diminuant l’acidité de l’estomac et celles qui sécrètent moins d’acide gastrique (personnes âgées) peuvent avoir des problèmes pour assimiler la vitamine B12 des aliments. Dans les compléments alimentaires, la vitamine B12 est déjà libérée de la matrice alimentaire ; ceux qui ont des problèmes de sécrétions gastriques acides sont donc en mesure de l’absorber.

Qui est à risque de carence de vitamine B12 ?

Les principales causes de déficience en B12 sont une insuffisance des apports alimentaires, des difficultés à absorber la B12 (malabsorption), un manque de facteur intrinsèque ou d’acidité dans l’estomac — qui sont indispensables pour absorber la vitamine B12 alimentaire au niveau intestinal — et l’usage de médicaments perturbant l’absorption du fer.

En pratique, il s’agit :

  • Des personnes ayant une alimentation végétarienne pauvre en produits animaux (surtout si ces derniers sont choisis parmi les mauvais pourvoyeurs de vitamine B12 : œufs, lait de chèvre, fromage de chèvre…).
  • Des personnes ayant une alimentation végétalienne (sans aucun produit animal).
  • Des personnes âgées qui sécrètent moins d’acidité dans leur estomac et/ou moins de facteur intrinsèque (c’est chez elles que le problème de carence en vitamine B12 est le plus fréquent).
  • Les personnes prenant certains traitements sur le long cours (metformine, inhibiteurs de la pompe à proton IPP, antihistaminiques).
  • Les personnes qui présentent des problèmes d’absorption liés à une MICI (maladie de Crohn), à des maladies auto-immunes (gastrite chronique atrophique, thyroïdite, maladie de Graves, vitiligo…) et celles ayant subi une chirurgie de l’estomac (bypass, sleeve…) ou de l’intestin grêle.

Quels sont les signes d’une déficience en vitamine B12 ?

  • Diminution du nombre de globules rouges et de globules blancs.
  • Glossite (gonflement de la langue qui devient douloureuse).
  • Fatigue, engourdissements et palpitations.
  • Peau pâle.
  • Troubles cognitifs, dépression.
  • Perte de poids.
  • Infertilité.

Chez les bébés (quand la maman manque de vitamine B12 durant la grossesse) :

  • Anomalies du tube neural.
  • Retards de développement.
  • Retard de croissance.
  • Anémie.
L’anémie par carence en B12 (ou anémie mégaloblastique)

C’est une anémie qui se forme très lentement, après plusieurs mois de carence, surtout chez les personnes âgées. Elle touche 2 à 4 % de la population et 12 % des personnes âgées. Elle est généralement liée à un problème d’absorption intestinale. C’est une anémie souvent sous-diagnostiquée en raison de symptômes qui sont peu spécifiques.

Quels sont les examens de biologie en cas de carence en vitamine B12 ?

  • Un taux sérique de vitamine B12 inférieur à 200 ou 250 pg/mL (soit 148 ou 185 pmol/L) signe généralement une cadrence en vitamine B12. Les valeurs seuils peuvent varier d’un laboratoire à l’autre.
  • L’acide méthylmalonique (AMM) est un métabolite associé à la vitamine B12. C’est un des marqueurs les plus sensibles du statut en vitamine B12. Un taux sérique d’AMM supérieur à 0,271 µmol/L marque une carence. Attention cependant : une insuffisance rénale ou un âge avancé peuvent entraîner l’augmentation du taux d’AMM dans le sang sans qu’il y ait de carence en B12.
  • Un taux d’homocystéine plasmatique total supérieur à 150 pg/mL (111 pmol/L) suggère également une carence en vitamine B12. Cet indicateur est cependant moins spécifique que le taux de vitamine B12 ou d’AMM, car il peut être influencé par un faible taux de folates ou une insuffisance rénale. Il mérite d’être associé au dosage de l’AMM.

Quels sont les examens de biologie en cas de carence en vitamine B12 ?

Il existe différents moyens de se complémenter en vitamine B12 : plusieurs fois par jour, au quotidien, chaque semaine, chaque mois…

Selon les recommandations de l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) de 2021, le besoin net (ou besoin cible) de vitamine B12 est de 1,5 à 2 μg de cobalamine par jour. Pour être obtenir cette dose de vitamine B12, la quantité à ingérer doit être nettement plus importante car la vitamine B12 n’est que partiellement absorbée au niveau intestinal. Et plus la dose est importante, plus la fraction effectivement absorbée est faible.

Quantités minimales de vitamine B12 nécessaires en fonction de la fréquence des prises.

Quantité (μg) par priseFréquence des prises
pour un besoin de 1,5 -2 μg par jour
13 prises par jour
2-51,5 à 2 prises par jour
10-501 prise par jour
1001 prise tous les 2 jours
5001 prise tous les 3 jours
10001 prise tous les 6 jours
20001 prise tous les 12 jours
50001 prise par mois
Source : ONAV

Quelle dose prendre au quotidien quand on est végétarien ou végétalien ?

Il n’existe actuellement aucun consensus scientifique précis sur la dose quotidienne de vitamine B12 optimale pour les adultes. En tenant compte des recommandations des principales associations végétariennes et véganes et des études menées sur ce sujet, et en gardant à l’esprit qu’il n’y a aucun risque associé à une surdose de vitamine B12, 25 μg de vitamine B12 apparaît comme une dose optimale pour répondre aux besoins des adultes, notamment de ceux qui consomment peu ou pas de produit animal ou d’origine animale.

Pour en savoir plus sur la supplémentation en vitamine B12, lire l’onglet Qualité d’Equifer®.

Cas particuliers

Les personnes qui souffrent de déficit en facteur intrinsèque (déficit héréditaire en FI) ou d’une anémie pernicieuse de Biermer — dans laquelle les anticorps de l’individu se fixent sur le FI et l’empêchent d’exercer ses fonctions — présentent des problèmes d’absorption de la vitamine B12 qu’elle soit apportée par les aliments ou par un complément. Dans ce cas l’administration de vitamine B12 se fait par voie intramusculaire.

Ingrédients

Extrait sec de feuilles de Kadi Patta (Murraya koenigii (L.) Spreng.) standardisé en fer, gélule : pullulan, gomme d’acacia*, huile de tournesol oléique désodorisée*, méthylcobalamine (vitamine B12).

* Ingrédient issu de l’agriculture biologique.

Composition pour 3 gélules :

IngrédientsApports journaliersValeur nutritionnelle de référence
Kadi Patta1273 mgN/A
–        dont fer naturel14 mg100 %
Vitamine B1225 µg1000 %

Conseils d’utilisation

Prendre 2 à 3 gélules le soir, en fonction des besoins, au moment du coucher. Une supplémentation d’une durée minimale de trois mois est recommandée.

Durée d’une boite

1 mois (90 gélules).

Précautions d’emploi

Ne pas dépasser la dose journalière recommandée et tenir hors de portée des jeunes enfants. Déconseillé aux personnes souffrant de maladies ayant pour conséquence une accumulation anormale de fer (hémochromatose, polyglobulie…). Déconseillé aux enfants et aux adolescents. Prendre un avis médical en cas de grossesse ou d’allaitement. Les compléments alimentaires ne peuvent être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré et d’un mode de vie sain.

23 avis pour EQUIFER®+ B12

  1. Rebecca Z. (client confirmé)

    Analyse sanguine fer 12 ug/dl et ferritine 4 ug/L saturation transferrine 3% . Après une cure Equifer + Apolactoferrine prise de sang faite: fer 86 ug/dl et ferritine 13,5 ug/dl Saturation transferrine 22 % + alimentations riche en fer Attention éviter le café .Je recommande.

  2. DOMINIQUE B. (client confirmé)

    ma maman 100 ans qui avait une grosse baisse en fer s’est retrouvée avec un résultat normal étonnement du médecin
    et sans aucune constipation comme les traitements prescrits par le médecin

  3. Aurore M. (client confirmé)

    Après une cure moins de fatigue. Je recommande.

  4. Amaury R. (client confirmé)

    Indiscutablement le meilleur que j’ai pu tester. assimilation du fer au top. Avant et après analyse incomparable!

  5. Milliet M. (client confirmé)

    Haute tolérance (je suis très sensible et mon taux de fer très bas) et reprise d’énergie progressive !

  6. Elodie L. (client confirmé)

    Je l’ai testé les yeux fermés car je fais toute confiance à UNAE.

  7. Laura B. (client confirmé)

    Taux de fer régulièrement bas, je prends ce complément pour maintenir un taux correct. J’apprécie la qualité du produit.

  8. Zoé H. (client confirmé)

    Bon produit comme d’habitude.

  9. Amandine B. (client confirmé)

    Tout d’abord je voulais vous remercier infiniment pour votre professionnalisme, en effet j’ai eu un souci de livraison avec ma toute 1ere commande et vous êtes intervenu immédiatement. alors un grand merci à vous

    Concernant le produit comment vous dire … je souffre d’une anémie sévère en fer depuis 4 mois, j’ai utilisé tous les traitements prescrits par mon médecin, j’ai vécu 4 mois d’effets secondaires horribles. Mon frère fidèle client chez vous, m’a donc conseillé votre gamme fer + b12 car lui même est végétarien .
    Alors un grand merci car depuis que j’utilise votre gamme, plus aucun, aucun effets secondaires . Je commence a ne plus sentir cette fatigue chronique dû à l’anémie. je suis ravie et je vais à mon tour vous recommander auprès de mes proches.

  10. LEILA B. (client confirmé)

    Excellent produit. Je ressens le jour même l’effet sur mon intense fatigue dû à une carence en fer. Le seul souci c’est qu’il me constipe. Il faut doubler sa consommation de liquide toute au long de la journée afin de minimiser la constipation.
    L’équipe m’a aussi conseillé de le prendre le soir avant le coucher mais malheureusement cela me donne des douleurs abdominales (au niveau du nombril). J’ai décidé de le prendre la journée avec une date ou une compote de mangue (vitamine C) et cela est mieux pour moi. Je n’ai plus ces douleurs depuis!
    Merci à toute l’équipe UNAE pour votre excellent travail.
    Hâte de passer une nouvelle commande dès que le produit est disponible!

  11. Zoé H. (client confirmé)

    Pris car taux de ferritine très bas. Je n’ai pas encore fais de bilan sanguin post-prise, mais je ferai une mise à jour quand ce sera fait. En tout cas, pas de désagréments intestinaux majeurs, ce qui est un soulagement.

  12. Halima O. (client confirmé)

    Après avoir testé equifer pendant plusieurs mois je peux dire qu’il est vraiment efficace quand on a une anémie ferriprive, j’étais beaucoup moins fatiguée que d’habitude 🙂 , ça donne vraiment un coup de booste à l’organisme ! Merci UNAE ❤️

  13. Michel C. (client confirmé)

    J’ai toujours eu un taux de fer trop bas, bien que ne ressentant pas d’anémie. Mon médecin m’a fait prendre diverses formes de fer qui me provoquaient de forts désagréments intestinaux. Aussi ai-je été intéressé par Equifer et j’ai acheté deux boîtes, pour essayer. Aucun désagrément intestinal. En revanche, j’ai cru déceler que la prise de deux gélules chaque soir nuisait à mon sommeil. Aussi ai-je décidé de prendre une seule gélule, chaque matin. J’ai fait une prise de sang un mois après avoir fini mes deux boites. Grosse déception: mon taux de fer n’avait pas bougé d’un iota (ou était redescendu très vite). Est-ce par ce qu’il faut vraiment prendre deux gélules, et le soir? Ou est-ce qu’il y a des gens qui n’assimilent pas bien la ferritine d’Equifer? J’hésite par conséquent à en recommander.

  14. David C. (client confirmé)

    Fer très bien assimilé, très peu ferreux même quand on ouvre la gélule.

  15. Soheil A. (client confirmé)

    Après un mois d’une prise quotidienne de ce produit (Equifer+B12), j’ai passé, la semaine dernière, mon contrôle médical annuel. Résultat: le taux de fer est revenu à la normale et la doctoresse n’a pas jugé utile de me prescrire des injections de vitamine B12 comme elle fait chaque année. Ce résultat plus que satisfaisant vaut plus qu’un long discours! Je recommande donc vivement ce complément à toutes les personnes végétaliennes (et végétariennes), et j’en profite pour remercier une fois de plus Julien, Emilie et toute l’équipe d’Unae pour l’excellence de leur travail.

  16. Gilonne C. (client confirmé)

    J’étais fortement carencée en fer pendant ma grossesse. Pourtant supplémentée par le biais de compléments alimentaires “spécial grossesse” en contenant. Celà fait 2 semaines que je prends Equifer+B12 et après 5 jours déjà je sentais un grand mieux. La fatigue a vite disparue, plus de fourmillements dans les pieds, aucune gêne digestive. Je n’ai pas encore faire contrôler mon taux mais vu ma forme je suis sûre qu’il est remonté. Je prends en parallèle l’Apolactoferrine. Je recommande. Et étant très sensible à l’argument écologique et l’attention aux matières premières locales, je suis encore plus ravie de la démarche de votre marque.

  17. Ludivine G. (client confirmé)

    Top j’ai toujours manqué de fer, les médicaments je l’ai supportait pas ça marchait pas. J’ai utilisé ce fer pendant 1 mois je viens de faire ma prise de sang pour vérifier et pour la 1iere fois plus de carences le fer est remonter. Merci beaucoup d’avoir trouver ce produit 🙏👍

  18. sophiane M. (client confirmé)

    Efficace sur l’énergie et l’assimilation

  19. Béatrice K. (client confirmé)

    Je suis enchantée d’avoir trouvé du fer de grande qualité, et de plus avec de la B12 ! J’en ai acheté pour ma petite-fille qui en manque, et qui manque de B12, et donc c’est très pratique ! Du coup, je m’en suis procuré car j’ai besoin de B12 pour les fourmillements dans les mains (en plus de la B1 que j’ai dans les multi-vitamines). Ce que je remarque, c’est que vous offrez tout ce qui est essentiel à la santé, tout est là sur le même site, cela facilite grandement la vie et est visiblement bénéfique. Merci Emilie et Julien, deux personnes ayant une grande empathie et le désir d’aider les autres, vous êtes très appréciés !

  20. Laura B. (client confirmé)

    J’apprécie la qualité et l’aspect écologique de ce produit. Je prends ce fer en complément pendant l’allaitement. Pas d’effets désagréables sur la digestion comme certains produits de ce genre. Je recommande

  21. Alice G. (client confirmé)

    Cela fait plusieurs mois que je prends des compléments pour le fer, cela me permet de maintenir mon taux mais pas forcément de l’optimiser. J’ai donc voulu essayer ce nouveau produit, et, analyses à l’appui, au bout d’un mois mon taux à augmenté, je vais donc continuer à en prendre ! Merci pour ce produit, bravo à vous

  22. Sylvette P. (client confirmé)

    Excellent
    J’ai 79 ans sans problème particulier et au bout d’une semaine de prise surprise de l’énergie a revendre. Super ce produit

  23. Luc V. (client confirmé)

    Je tiens à vous remercier et à vous dire qu’après quatre jours de prise de Fer je ressens déjà un regain d’énergie, j’ai pris tous les traitements que l’on donne habituellement avec les effets désagréables qui les accompagnent , alors Bravo et encore merci

Seuls les clients connectés ayant acheté ce produit ont la possibilité de laisser un avis.

Equifer semble être destiné aux femmes. Je suis un homme, puis-je l’utiliser ?

Equifer convient à toutes les personnes ayant des carences avérées en fer. 

Peut-on donner Equifer à un enfant ou à un adolescent ?

Non, EquiFer n’est pas un complément alimentaire développé pour les enfants.

Equifer est-il compatible avec la grossesse ?

Tout à fait, Equifer est compatible avec la grossesse. 

Je prends un des multivitamines de votre gamme de produits. Y a-t-il un risque de surdosage en vitamine B12 ?

Même si les doses semblent élevées, notre organisme n’absorbe qu’un faible pourcentage de vitamine la B12 ingérée. Les doses que nous utilisons sont conformes à la législation et sécuritaires. Elles ne présentent pas de danger pour la santé.

Est-ce que le produit Equifer est compatible avec l’apolactoferrine ?

Notre fer végétal est compatible avec notre lactoferrine. Nous recommandons cette association.

Puis-je ouvrir les gélules d’Equifer et consommer uniquement la poudre ?

Oui, il est possible d’ouvrir les gélules pour consommer la poudre dans un jus de fruits ou de légumes frais, ou tout simplement un grand verre d’eau. Néanmoins, la poudre a un goût très prononcé et il est possible que cela ne convienne pas à tout le monde.

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